Un selfbondage ABDL BDSM kata

Catégories : Diaper boy / Little boy Selfbondage auto bondage
il y a 5 ans

J’avais vu cette barre de bondage contrainte BDSM à 19.95 alors j’ai décidé de m’en fabriquer une pour me faire un selbondage en couche. Mon idée était de m’obliger à faire la totale au moins une fois pour voir ce que cela fait. J’ai pris un manche à balai que j’ai coupé et j’y ai vissé des crochets. Pour attacher mes pieds j’avais mis des chaînettes et des cadenas aux chevilles, pour les mains, mes deux paires de menottes.

Avec trois suppositoires à la glycérine dans les fesses, je m’étais dit qu’une fois entravé, il serait difficile de ne pas faire dans ma couche. En plus, j’avais déposé les clés à l’opposé de l’appartement, mon plan était de m’obliger à me déplacer assis ou couché pour aller les chercher et me libérer.

Une fois assis et les mains bloquées prés de mes chevilles, soit je pliais les jambes et donc ouvrais bien mes fesses soit je restais penché en avant plié en deux. N’étant pas très souple, je n’arrivais pas à garder cette position longtemps.

Comme chacun sait, l’excitation pousse à faire des choses parfois un peu folles. Sauf qu’une fois aux pieds du mur, si l’excitation tombe, tout est de suite moins amusant. Ce jour là, mon voisin avait décidé de tondre sa pelouse avec sa tondeuse qui fait le bruit d’un avion. Autant dire qu’il gâchait mon plaisir et mes délires fantasmagoriques.

En sentant que dans mon ventre il se passait quelque chose, j’ai décidé de remettre à plus tard cette expérience de « faire la totale » dans ma couche au moins une fois. Pour me déplacer, j’ai commencé à galérer un peu et, en tirant sur la barre fixée à mes pieds, j’ai arraché un crochet. La haine et ouf. La haine car j’avais bricolé pour rien, ouf parce que j’allais pouvoir me sortir de ce mauvais pas plus rapidement. Arrivé à la porte de la cuisine, j’ai arraché le deuxième crochet. GRRR.

Conclusions, mon bricolage à deux balles était nul, mon plan avait foiré, j’étais déçu. Pour m’auto punir, je suis monté sur ABCplaisir et j’ai acheté la barre de bondage contrainte en acier équipé d'anneaux et une cagoule d’isolation BDSM. Avec ça sur la tête, aller récupérer les clés serait encore plus long et compliqué. Encore des plaisirs en perspective.

Comme les suppositoires n’avaient pas vraiment fait d’effet, j’ai fait des recherches sur internet pour trouver quelque chose de plus efficace contre la constipation. Le Microlax étant le plus connu m’attirait. Ils disaient : « Ce laxatif soulage votre constipation occasionnelle en 5 à 20 minutes et son action locale permet une libération rapide et prévisible ». J’en ai commandé une boite pour essayer.

Le week-end suivant, tout était arrivé, mes fantasment gambadaient. Pour éviter que le voisin casse l’ambiance, j’ai décidé de faire ça le soir. Monsieur Du Con, n’allait pas tondre ou couper son bois la nuit. Après avoir mis les clés dans la cuisine où j’ai poussé les chaises pour éviter de me faire mal, je suis retourné dans ma chambre où tout mes accessoires m’attendaient. Couché sur mon lit au-dessus de ma couche, j’ai injecté un Microlax dans mes fesses. Puis, dans mes délires, je me suis dit que deux seraient mieux. D’après la notice, j’avais en 5 et 20 minutes, il ne me fallait pas trop tarder. Après avoir bien fermé la couche, j’ai mis une culotte en plastique et un body pour ne pas avoir froid. Ah ça, je n’ai pas eu froid !!!!

Assis par terre, j’ai entravé mes chevilles à l’extrémité de la barre puis j’ai mis la fameuse cagoule bien serrée. Entre mes jambes, les menottes m’attendaient sagement contrairement à moi. Tout allait bien, j’arrivais à respirer dans la cagoule mais cela me faisait drôle car ma respiration monopolisait beaucoup mes pensées. Je n’entendais quelle là-dessous. « Allez ose, va jusqu’au bout de tes fantasmes » me suis-je dit pour trouver le courage de finaliser ce selfbondage. Pour ne pas fuir, je me suis pressé de poser les menottes à mes poignets et de les fixer aux anneaux de la barre. Mon premier réflexe a été de tester sa résistance puis de voir (façon de parler) si j’arrivais à enlever la cagoule avec les mains attachées à mes pieds. NIET impossible ma souplesse ne me permettait pas d’arriver au laçage arrière. J’allais donc être obligé de me déplacer à l’aveugle.

Sortir de ma chambre n’a pas été bien difficile, et pour cause, j’étais assis en face la porte. Tout en rampant assis sur ma couche, j’ai obliqué sur la droite pour traverser le salon. Ma respiration allait très vite, je m’essoufflais, mon coeur battait la chamade. Dans la cagoule, on l’entend bien ! ! ! Un pause s’imposait. Et pendant cette pause, je me suis traité de malade. Au moment de reprendre mes reptations, j’ai senti que dans mon ventre cela gargouillait. Allais-je parvenir à me sortir de ce selfbondage avant que mon intestin se vide dans ma couche ? Quand j’ai plié les jambes pour prendre appuis sur mes mains et repousser mes fesses, j’ai eu « chaud » à l’anus. Chaud dans le sens « chaleur ». Il allait falloir que j’accélère si je voulais éviter la kata.

C’était un jeu, vouloir le faire sans réellement vouloir le faire tout en essayant de ne pas le faire par crainte. Je ne sais pas si vous saisissez la logique....

Accélérer oui, mais à l’aveugle ce n’est pas si évident que ça surtout quand on arrive dans le canapé en pensant qu’on allait le contourner. Toujours aussi essoufflé, j’ai corrigé l’axe de mes reptations en essayant de garder le rythme. C’est là que j’ai senti que mon anus commençait à fuir. Faire des efforts et plier les jambes devenait risqué. En serrant les fesses comme un malade, j’ai continué d’avancer mais avec des gestes moins grands. Quand mes pieds ont rencontré le meuble de la télévision, j’ai compris que j’avais encore bifurqué. La haine ! Après un petit virage à gauche, entre mes fesses il s’est passé quelque chose. C’est là que j’ai commencé à douter d’arriver au bout sans vider me tripes dans la couche.

Pour passer du salon à la cuisine, dans cette vieille maison, il y a une marche. Juste une dans laquelle on se fait piéger et on butte quand on n’a pas l’habitude des lieux. La descendre a été fatal à ma retenue. Si mes pieds et mes mains sont passés sans souci, n’ayant pas d’autre choix que de glisser ou chuter sur mes fesses, j’ai tenté ce passage comme un saut, l’arrivée a fait un impact là où il ne fallait pas. CAD mes fesses. Ce fut comme si la gravité générait la gravité de la situation. Désolé de ce jeux de mots aussi débile que le selfbondage entrepris.

J’avais chaud aux fesses et partout en bas. Je transpirais comme un malade sous ma cagoule. Si cette fois j’étais allé au bout d’un fantasme, je n’étais pas fier du tout. Les derniers mètres furent un calvaire psychologique tout comme la toilette. Je l’ai fait une fois, je ne le ferai pas deux.

Par contre, avec cette cagoule d’isolation BDSM, tout prend une dimension particulière et ça, j’ai adoré. J’ai des idées et des scénarios de selfbondage plein la tête, je vous raconterai ça plus tard sur Fessestivites. Il faut dire que toutes ces vidéos de selfbondage et ces scénarios cela donne des idées.

Ecrivaillon

QUELQUES LIENS

Nous vous invitons vivement à lire cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie.

Soyez prudents et surtout, ne faites JAMAIS de selfbondage avec du breath control (étouffement / contrôle de la respiration).

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